L’autonomie des territoires touche à une idées simple : les dotations de l’Etat baissent auprès des collectivités territoriales, avec une relocalisation des responsabilités.

Les seules questions d’aménagement du territoire ne suffisent plus à penser l’organisation et l’urbanisme comme pendant les 30 glorieuses, déjà loin derrière nous.

Aujourd’hui, depuis le passage à l’an 2000, les thèmes environnementaux sont revenus sur le devant la scène médiatique : on parle d’urbanisme vert, de végétalisation des villes, de transition écologique personnelle, d’habitat passif ou positif, de villes comestibles, et de villes en transition.

Dans les actes, la mobilisation des collectivités progresse. C’est pour être aux côtés des collectifs citoyens et des élus locaux que je propose mes services :

conception d’écosystèmes résilients en agriculture urbaine,

formations et éducation populaire

réalisations de villes et paysages comestibles,

afin que les territoires puissent aller vers l’autonomie en alimentaire, énergie, et santé.